J'ai fait plus de quatre tentatives dans cette entreprise et j'ai rencontrĂ© Ă chaque fois des problĂšmes graves concernant l'organisation et un comportement inacceptable du personnel y compris de certains manager. Personnellement je trouve anormal d'avoir Ă aller consulter un manager pour lui demander quoi faire et de devoir attendre Ă plusieurs reprises en salle de pause une heure ou plus que l'on me donne du travail et ce dĂšs le dĂ©but de la journĂ©e. Vous vous demandez inĂ©vitablement si vous ĂȘtes le bienvenu. Il me semble que cette entitĂ© pourrait ĂȘtre utilisĂ©e pour donner une idĂ©e de ce qu'a dĂ» ĂȘtre l'ambiance de travail dans une entreprise (non militaire) de l'Empire SoviĂ©tique.Y rentrer par l'entremise d'une personne de votre famille y travaillant dĂ©jĂ et ĂȘtre syndiquĂ© pourrait peut-ĂȘtre faciliter les choses. Cela pourrait bien se terminer comme Boutet Nicolas, entreprise de la mĂȘme ville de Rosporden dans laquelle j'ai rencontrĂ© des problĂšmes similaires et qui a mal finit.
A ce sujet on me retourne plusieurs commentaires:
--"C'est toujours comme cela, quand on trouve un moyen de faire de l'argent, il ya toujours des gens qui viennent se greffer."
-- "C'a va nous causer trop d'ennuis de s'attaquer à lui" (ils ne sont pas tous découragé à ce que je vois: la fréquence des attaques s'est tellement intensifiée que je me demande si j'aurais encore un travail à partir du mois de juillet, ou alors il m'enverront à petaouchnok travailler quelques heures).
-- Menaces directes, surveillances, enquĂȘtes : le 28 dans le parking Leclerc de QuimperlĂ© une belle voiture noire garĂ©e Ă cĂŽtĂ© de mois et deux passagers trĂšs bien habillĂ©s: "On a rien trouvĂ©". L'expĂ©rience m'a montrĂ© que lorsqu'ils ne trouvent rien, ils fabriquent.